Masterclass 2020 : ce qu’en disent les étudiants.
Suite à la master class 2020, nous avons demandé aux étudiants :
1. Leur motivation pour participer à ce Webinaire
2. Le moment fort ou l’idée exposée par un intervenant qui les a le plus marqués et pourquoi
3. Comment ils se sentent, à leur tour « YASE » et le défi qu’ils voudraient contribuer à relever dans les mois à venir.
Abigail Cawley, étudiante à l’Université Georgetown et actuellement en programme d’échange à Paris :
» Ma motivation pour participer à cette masterclass tient à plusieurs raisons :
Premièrement, je m’intéresse dans mes études à la transformation de l’énergie et de l’économie des infrastructures pour faire face au problème du climat, du réchauffement climatique. Je suis inscrite depuis un an dans un programme d’échange à Paris et j’ai parlé avec d’autres étudiants qui suivent des études en sciences et technologies comme moi et qui se focalisent aussi sur le problème du réchauffement climatique et de la transition économique.
Et puis j’étais motivée par le fait de m’engager dans une conversation avec des gens – étudiants bien sûr et professionnels – qui sont décidés à affronter ce problème international d’une manière instructive et aussi des valeurs communes.
Le temps fort, c’est l’exposé et la discussion avec Brune Poirson : comment essayer de combattre le problème et la solution économique et écologique du développement durable, comment avec son équipe, elle a fabrique du nucléaire, combattre le souci qu’ils ont créé en utilisant une mécanique qui est centrale à notre compréhension, à notre connaissance des économies et des marchés pour dire que si on crée la compétition entre les boîtes de France dans un secteur pour innover, on aura 25% qui auront décidé d’innover dans une certaine manière et tous les autres à vraiment changer radicalement dans une autre manière. Cela m’a décidée dans mes études à infiltrer l’économie avec l’écologie et à coupler l’économie et le problème du réchauffement climatique.
Je me sens plus tenue par la connaissance des étudiants et des professionnels qui vont pousser à je vais continuer dans l’ingénierie économique et à penser d’une manière qui réfléchit sur les valeurs de base ou les valeurs de bien commun et l’humanisme enfin, pour pousser les professeurs, leurs recherches, leurs projets à intégrer ces valeurs. Je me sens plus à l’aise avec ce travail et j’ai vraiment hâte de continuer ce travail d’améliorer le monde. «
Qianyin Wu, étudiante à l'université de Georgetown :
» J’ai participé à ce webinaire parce que j’ai voulu m’engager dans une discussion pertinente au sujet du coronavirus et de la responsabilité sociale d’entreprise. De plus, j’ai voulu améliorer mon français en pratiquant celui-ci avec d’autres étudiants américains et français.
D’après moi, l’idée la plus marquante est l’importance des valeurs dans la société moderne où les chiffres et l’avancement technologique sont dominants. M. François de Lecquesaing a dit que les valeurs sont essentielles pour guider la responsabilité des citoyens et même des entreprises. Pour améliorer le monde, il faut être capable d’imaginer un monde différent en utilisant des meilleures valeurs. Professor Andrew Sobanet a expliqué qu’on peut trouver ces valeurs comme l’empathie dans la littérature.
En tant que YASE, j’essaie de développer ma pensée. J’entends des idées variées et j’utilise la pensée critique pour trouver des meilleures solutions pour traiter les problèmes mondiaux. Pour les mois à venir, je voudrais continuer mon exploration intellectuelle en cherchant des idées innovantes. De plus, je veux aligner consciemment mes actions quotidiennes avec les valeurs que je crois les plus importantes pour établir un monde plus équitable et durable. «
Evie Gentile, étudiante à l'université de Georgetown :
» J’étais ravie de participer à cette Masterclass parce que je voulais étudier comment la gouvernance change à cause du coronavirus, aux États-Unis ainsi qu’en France. J’ai bien aimé le fait de me connecter avec les étudiants français et de découvrir les perspectives des professeurs et des professionnels français.
J’ai été très impressionné par l’intervention de Nicolas Lioliakis, surtout quand il a questionné l’utilité de la méritocratie et des traditions d’embaucher les étudiants des écoles d’« élites » pour des travaux dans les hauts secteurs de l’économie. Cela m’a fait réfléchir sur la manière dont mes études et mes prochaines expériences professionnelles vont impacter la société dans son ensemble.
J’ai hâte de continuer à travailler avec la Fondation Saint-Omer et de faire croître la génération « YASE » pour qu’on puisse vraiment questionner les impacts des décisions gouvernementales sur l’environnement et la société. Ma génération a dans ses mains une responsabilité unique pour considérer les effets à long terme de nos actions et je suis contente de contribuer à ce changement de mentalité. «